Différents réseaux jouent un rôle crucial dans la préservation des tourbières en permettant la collaboration entre les différents acteurs impliqués dans leur protection, tels que les chercheurs, les gestionnaires d’espaces naturels, les décideurs politiques. Ces réseaux facilitent la partage de connaissances et d’expériences, la mise en place de stratégies de conservation et la sensibilisation du public aux enjeux liés à la préservation des tourbières.
Les réseaux tourbières
Le GET est une association loi de 1901, dont la date de naissance remonte à juin 1986 à Besse-en-Chandesse (Puy-de-Dôme). Le professeur J. Brunhes (entomologiste) fut le parrain et le premier président de l’association.
Les objectifs du GET sont de promouvoir la connaissance sur les tourbières, de favoriser l’échange d’expériences, et de réfléchir sur les moyens de protection de ces écosystèmes si particuliers. Les membres du GET sont de formations et de fonctions professionnelles variées, la vocation première de l’association étant de rassembler des scientifiques, des naturalistes et des gestionnaires d’espaces naturels autour des questions posées par la conservation et la gestion des tourbières.
Le GET organise chaque année une session de terrain en France ou pays voisins. Il organise ou co-organise aussi, en général tous les deux ans, un séminaire ou un colloque.
Pour en savoir plus, visitez le site Internet du Groupe d’Étude des Tourbières
Cette liste de discussion est créée par le Pôle-relais tourbières (Fédération des Conservatoires d’espaces naturels) pour permettre aux professionnels travaillant autour des tourbières de pouvoir poser des questions.
Cette liste a vocation à être un lieu d’échanges au sujet de questions techniques, ou de retours d’expériences.
Si vous souhaitez être ajouté à la Framaliste, merci de prendre contact auprès de Ludivine COINCENOT
Le groupe international de conservation des tourbières (International Mire Conservation Group – IMCG) a été créé en 1984 afin de promouvoir la conservation des tourbières et leur diversité à travers le monde. Ce réseau compte actuellement plus de 550 contacts dans 60 pays.
L’IMCG propose au moins tous les deux ans une excursion dans l’un ou l’autre pays du monde où la problématique « tourbières » est importante, suivie d’un colloque. L’adhésion est actuellement gratuite, mais se fait après acceptation de la candidature.
Il coédite avec l’IPS la revue en ligne Mires and Peat.
Pour en savoir plus, visitez le site de l’IMCG (en anglais)